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1 août 2018

Le langage des catastrophes : Sur quoi repose la sécurité de notre vie ?

Le langage des catastrophes

Sur quoi repose la sécurité de notre vie ?

 

Peut-on comprendre le langage des catastrophes ?

 

Inondations, tempêtes, tremblements de terre... Comment ne pas s'alarmer devant le nombre des catastrophes naturelles qui se sont abattues sur le monde ces dernières années ! L'insécurité, la peur, incitent tout un chacun à se poser des questions fondamentales.

 

Peut-on comprendre le langage des catastrophes ?

 

L'écroulement de « La Tour de Siloé »

 

Alors que Jésus était sur terre, une catastrophe naturelle se produisit (Luc 13.1-5)[« 1 A ce moment-là, quelques personnes qui se trouvaient là racontèrent à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mélangé le sang avec celui de leurs sacrifices.
2 Jésus leur répondit: «Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont subi un tel sort? 3 Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d'attitude, vous périrez tous de même. 4 Ou bien ces 18 personnes sur qui la tour de Siloé est tombée et qu'elle a tuées, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem? 5 Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d'attitude, vous périrez tous de même.»]
qui ne causa pas autant de victimes que celles de ces dernières années, mais qui frappa suffisamment les esprits pour que Jésus y fit allusion. La question immédiate qui venait à l'esprit était la suivante : les 18 personnes écrasées par la chute de la tour de Siloé, étaient-elle plus coupables que les autres ? (Luc 13.4)

 

Nous ne savons rien sur la cause de l'écroulement de la tour en question. Si le fait s'était passé aujourd'hui, une enquête aurait été menée. La construction était-elle trop vétuste ? Les normes de sécurité avaient-elles été respectées ? Y a-t-il eu un tremblement de terre ? Les catastrophes ont toutes sortes de causes, explicables ou non ! Quelles qu'elles soient, le drame concerne en premier les victimes.

 

A la question posée, Jésus est formel ! La mort des 18 victimes de la chute de la tour de Siloé n'était pas une punition de Dieu. Le contraire eût été une drôle de coïncidence. Il aurait fallu que, dans un même lieu, au même moment, 18 personnes coupables de graves forfaits voient leur sort scellé dans un même jugement. Scénario digne d'un film de science-fiction ! Ce n'est pas de ce côté que l'on doit chercher la réponse à la question que posent les coups du sort.

 

(L'écroulement de « la tour de Siloé ». Extrait de l’Évangile de Luc dans lequel est rapporté l'écroulement de la Tour de Siloé (près de Jérusalem) causant la mort de 18 personnes :

 

« En ce temps là, quelques personnes vinrent raconter à Jésus comment Pilate avait fait tuer des Galiléens au moment où ils offraient des sacrifices à Dieu. Jésus leur répondit Pensez-vous que si ces Galiléens ont été ainsi massacrés, cela signifie qu'ils étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens ? Non, vous dis-je ; mais si vous ne changez pas de comportement, vous mourrez tous comme eux. Et ces dix-huit personnes que la tour de Siloé a écrasées en s'écroulant, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, vous dis-je ; mais si vous ne changez pas de comportement, vous mourrez tous comme eux »

(Luc 13.1-5)

 

La fragilité de l'existence

 

La rapidité avec laquelle une vie (celle d'un enfant, d'un père, d'une mère...) peut disparaître ne laisse personne indifférent. La disparition brutale, inattendue, est un rappel du caractère fragile de l'existence. L'apôtre Jacques, qui dénonçait la vanité humaine, a raison de dire à propos du présent et du lendemain : « Ecoutez-moi, vous qui dites : Aujourd'hui ou demain, nous irons dans telle ville, nous y passerons une année, nous y ferons des affaires et nous gagnerons de l'argent. Savez-vous ce que demain vous réserve ? Qu'est-ce que votre vie ? Une brume légère, visible quelques instants et qui se dissipe bien vite. Voici ce que vous devriez dire : Si le Seigneur le veut, nous vivrons et nous ferons ceci ou cela ! » (Jacques 4.13-15)[« 13 A vous maintenant qui dites: «Aujourd'hui ou demain nous irons dans telle ville, nous y passerons une année, nous y ferons des affaires et nous gagnerons de l'argent», 14 vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain! En effet, qu'est-ce que votre vie? C'est une vapeur qui paraît pour un instant et qui disparaît ensuite. 15 Vous devriez dire, au contraire: «Si Dieu le veut, nous vivrons et nous ferons ceci ou cela.» ]

 

Nous sommes ici au cœur de la réflexion à mener. Notre vie, en tant qu'êtres humains, ne nous appartient pas. Elle est soumise, non à nos prévisions, mais au bon vouloir de Dieu. Or, il ne plaît nullement à Dieu de faire mourir qui que ce soit. Dieu a bien d'autres projets pour nous que la mort. En vérité, dit Jésus, c'est la vie,l a vie éternelle que Dieu aimerait offrir à chacun ! Tout ce qu'il fait, tout ce qui se produit, poursuit cet unique but ! En nous permettant de côtoyer la mort, parfois de près, Dieu cherche à nous rendre attentifs à ce qui ne passe pas, et que la mort même ne peut prendre.

 

La vie éternelle

 

Une question quotidienne se pose à chacun de nous. Sur quoi repose la sécurité de notre vie ? Ni l'argent, ni l'or, ni la meilleure des santés ne sont une garantie suffisante ! Face à la perspective de la mort, Jésus seul a les paroles de vie et d'espoir : « Je suis, dit-il, la résurrection et la vie. Celui qui place toute sa confiance en moi vivra, même s'il meurt» (Jean 11.25). L 'affirmation de Jésus n'est pas parole en l'air. Trois jours après sa mort, il a prouvé la justesse de ses dires. Il est revenu à la vie devant des témoins médusés qui, par la suite, n'ont plus eu peur de la mort !

 

La proposition de Jésus est soumise à deux conditions. Pour en bénéficier, nous devons tout d'abord reconnaître qui il est ! Jésus est le Fils de Dieu ! Sa venue dans ce monde n'a qu'un but. Il vient subir la mort et le jugement que méritent nos péchés. En second lieu, nous devons nous approprier ce qu'il a fait pour nous. La vie éternelle que Jésus propose est gratuite pour nous. Mais elle lui a coûté le prix maximal. Tant que la vie est là, il est possible pour chacun de faire la paix avec Dieu.

 

Il suffit pour cela de faire appel à Jésus, et de remettre notre sort entre ses mains. Jésus seul peut effacer et guérir le passé, rendre le présent serein et assurer l'avenir ! Le voulez-vous ?

 

(Flyer de Média Espérance – Gilles Georgel)

 

Ichtus (2)

 

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