PAROLE PROPHÉTIQUE : ATTENTION LES DEMONS VEULENT RENTRER CHEZ VOUS (Aymeric SROKA)
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CONTINUER A S’APPUYER SUR DIEU
Ne m’abandonne pas, ô Dieu ! même dans la blanche vieillesse… (Psaume 71.18)
Lecture proposée : Psaume 71
Éternel ! je cherche en toi mon refuge:
Que jamais je ne sois confondu !
Dans ta justice, sauve-moi et délivre-moi !
Incline vers moi ton oreille, et secours-moi !
Sois pour moi un rocher qui me serve d'asile,
Où je puisse toujours me retirer !
Tu as résolu de me sauver,
Car tu es mon rocher et ma forteresse.
Mon Dieu, délivre-moi de la main du méchant,
De la main de l'homme inique et violent !
Car tu es mon espérance, Seigneur Éternel !
En toi je me confie dès ma jeunesse.
Dès le ventre de ma mère je m'appuie sur toi ;
C'est toi qui m'as fait sortir du sein maternel ;
tu es sans cesse l'objet de mes louanges.
Je suis pour plusieurs comme un prodige,
Et toi, tu es mon puissant refuge.
Que ma bouche soit remplie de tes louanges,
Que chaque jour elle te glorifie !
Ne me rejette pas au temps de la vieillesse ;
Quand mes forces s'en vont, ne m'abandonne pas !
Car mes ennemis parlent de moi,
Et ceux qui guettent ma vie se consultent entre eux,
Disant: Dieu l'abandonne ;
Poursuivez, saisissez-le ;
il n'y a personne pour le délivrer.
O Dieu, ne t'éloigne pas de moi !
Mon Dieu, viens en hâte à mon secours !
Qu'ils soient confus, anéantis, ceux qui en veulent à ma vie !
Qu'ils soient couverts de honte et d'opprobre, ceux qui cherchent ma perte !
Et moi, j'espérerai toujours, Je te louerai de plus en plus.
Ma bouche publiera ta justice, ton salut, chaque jour,
Car j'ignore quelles en sont les bornes.
Je dirai tes oeuvres puissantes, Seigneur Éternel !
Je rappellerai ta justice, la tienne seule.
O Dieu ! tu m'as instruit dès ma jeunesse,
Et jusqu'à présent j'annonce tes merveilles.
Ne m'abandonne pas, ô Dieu !
même dans la blanche vieillesse,
Afin que j'annonce ta force à la génération présente,
Ta puissance à la génération future !
Ta justice, ô Dieu ! atteint jusqu'au ciel ;
Tu as accompli de grandes choses: ô Dieu !
qui est semblable à toi ?
Tu nous as fait éprouver bien des détresses et des malheurs
Mais tu nous redonneras la vie,
Tu nous feras remonter des abîmes de la terre.
Relève ma grandeur, Console-moi de nouveau !
Et je te louerai au son du luth,
je chanterai ta fidélité, mon Dieu,
Je te célébrerai avec la harpe, Saint d'Israël !
En te célébrant, j'aurai la joie sur les lèvres,
La joie dans mon âme que tu as délivrée ;
Ma langue chaque jour publiera ta justice,
Car ceux qui cherchent ma perte sont honteux et confus.
Visiblement, David a encore des ennemis qui en veulent à sa vie. Cependant, il continue non seulement à s’appuyer sur Dieu et à espérer en lui, mais il veut continuer à le louer pour son salut et ses œuvres puissantes.
Puisque, tout au long de sa vie, Dieu ne l’a pas abandonné, il veut continuer à publier, dire, rappeler, annoncer ses merveilles.
Nous avons besoin de compter les bienfaits de Dieu : la reconnaissance donne de la joie à notre âme et nous incite à parler des merveilles que Dieu a accomplies dans nos vies. Savons-nous les voir ? Sommes-nous décidés à continuer à nous appuyer sur lui, à être reconnaissants, à parler de ses bienfaits, à le louer pour sa fidélité comme David le fait ?
La confiance et la reconnaissance envers Dieu ne donnent-elles pas un sens à nos vies ? Ne disent-elles pas que nous n’avons pas à nous inquiéter, puisque Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse avec gloire, en Jésus-Christ ?
(Philippiens 4.19).[Et mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus Christ. ]
(Extrait des méditations Quotidiennes – Tania Barbe)
LE CŒUR DE LA PRIERE
Mais toi, quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte et prie ton Père qui est là dans le lieu secret… (Matthieu 6.6)
Lecture proposée : Matthieu 6.5-13
5 Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour être vus des hommes. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense. 6 Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. 7 En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. 8 Ne leur ressemblez pas ; car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez.
9 Voici donc comment vous devez prier: Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié ; 10 que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. 11 Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien ; 12 pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; 13 ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !
Si important que soit la prière publique et collective, elle n’est pas le cœur de cet exercice qui relie le croyant à Dieu. Le risque existe, lorsque nous prions devant les autres, de vouloir les impressionner par nos paroles ou nos gestes.
Certes, nous nous adressons à Dieu, mais aussi à ceux qui nous écoutent. Les religieux du temps de Jésus étaient des experts de la comédie. Se tenant debout au coin des rues ou dans les synagogues, ils faisaient tout pour être remarqués. Jésus prévient les siens contre cette attitude. La véritable prière se vit dans le secret de sa chambre. Elle n’a d’autre auditeur et spectateur que Dieu. C’est là, dan le un à un avec lui, que le cœur peut se livrer totalement. Qui s’adresse à Dieu seul sait qu’il ne sert à rien de bluffer ou de jouer un rôle. Tout peut être dit avec honnêteté à Dieu : cris, angoisses, attentes, confessions..
Prier, c’est témoigner de la confiance que nous avons dans le Père quant à nos besoins les plus variés. Jésus l’assure : une telle démarche ne restera pas sans réponse. Le Père, qui voit dans le secret, entend. Il aime ce dialogue dans lequel le cœur s’exprime. Il apprécie cette confidence intime dont il est l’objet. Il n se passera pas longtemps avant qu’il ne réponde ouvertement à la demande qui lui est adressée.
(Extrait des méditations Quotidiennes – Gilles Georgel)
DES PREUVES D’AMOUR
(…) les sages se mettent en route. Ils aperçoivent l’étoile qu’ils ont vue à l’est. Ils sont remplis d’une très grande joie en la voyant. L’étoile avance devant eux. Elle arrive au-dessus de l’endroit où l’enfant se trouve, et elle s’arrête là. Les sages entrent dans la maison, et ils voient l’enfant avec Marie, sa mère. Ils se mettent à genoux et adorent l’enfant. Ensuite, ils ouvrent leurs bagages et ils lui offrent des cadeaux : de l’or, de l’encens et de la myrrhe.(Matthieu 2.10-11)
Quand avez-vous pour la dernière fois offert un cadeau à votre conjoint ? Que lui avez-vous offert ? Si vous êtes incapable de répondre à ces deux questions, vous avez au moins un cadeau de retard ! Faire des présents, c’est l’un des cinq langages d’amour fondamentaux. Un cadeau à votre partenaire constitue une preuve tangible de vos sentiments d’amour.
Les présents les plus célères de la Bible sont indubitablement ceux que les mages firent à l’enfant Jésus. Ces hommes apportèrent des cadeaux coûteux : de l’or et des épices recherchées. Ce faisant, ils honoraient Jésus en lui montrant qu’ils le considéraient comme un roi. Je suis certain que Marie et Joseph étaient médusés par ces objets magnifiques et par l’amour pour leur fils qu’ils symbolisaient.
Un présent n’est pas nécessairement cher. Il existe même des fleurs gratuites ! Mais pourquoi ne pas consacrer un peu d’argent à votre couple ? Offrez à votre partenaire quelque chose qui sera à coup sûr apprécié. Si vous avez des doutes, renseignez-vous ! Expliquez que vous aimeriez faire quelque chose d’agréable et adapté, et demandez à votre conjoint une liste de cadeaux qui lui feraient plaisir. Voilà une information précieuse pour construire votre relation.
Prière :
Père, merci pour l’exemple des mages, qui ont apporté ce qu’ils avaient de plus précieux pour montrer leur amour à Jésus. Aide-moi à faire de mon mieux pour exprimer mon amour à mon conjoint grâce à des cadeaux soigneusement choisis.
(Extrait des « méditations quotidiennes pour le couple » - de Gary Chapman)
AUCUN SUBSTITUT
Ai-je placé ma confiance dans l’or ? Ai-je dit à l’or fin : « Tu es mon assurance » ?
(…)
J’aurais été traître envers le Dieu du ciel. (Job 31.24, 28)
Lecture proposée : (Job 31.24-28)
24 Si j'ai mis dans l'or ma confiance, Si j'ai dit à l'or: Tu es mon espoir ; 25 Si je me suis réjoui de la grandeur de mes biens, De la quantité des richesses que j'avais acquises ; 26 Si j'ai regardé le soleil quand il brillait, La lune quand elle s'avançait majestueuse, 27 Et si mon coeur s'est laissé séduire en secret, Si ma main s'est portée sur ma bouche ; 28 C'est encore un crime que doivent punir les juges, Et j'aurais renié le Dieu d'en haut !
DE LA PAROLE…
Un jour, Moïse, dans un long discours, énuméra les bénédictions dont les Israélites jouiraient s’ils obéissaient à Dieu et les malédictions qu’ils subiraient dans le cas contraire. Dieu avait conclu une alliance avec les Israélites, et il allait la respecter. En serait-il de même pour eux ? Parmi les sentences claires énumérées par Moïse en cas de désobéissance, figurait celle-ci : leurs ennemis assiégeraient leurs villes « jusqu’à ce que s’écroulent les hautes murailles fortifiées », objets de leur confiance (Deutéronome 28.52).[ Elle t'assiégera dans toutes tes portes, jusqu'à ce que tes murailles tombent, ces hautes et fortes murailles sur lesquelles tu auras placé ta confiance dans toute l'étendue de ton pays ; elle t'assiégera dans toutes tes portes, dans tout le pays que l'Éternel, ton Dieu, te donne.]
Une des conséquences les plus terribles du péché, c’est que nous nous mettons à placer notre confiance dans nos efforts personnels plutôt qu’en Dieu qui en est à jamais digne. Notre foi s’effrite et nous cherchons alors des solutions de substitution, souvent inefficaces. Dans le discours de Moïse, il s’agit des hautes murailles des villes, une protection au cas où Dieu viendrait à faillir ! Dans les lamentations de Job, c’est l’or au cas où Dieu viendrait à manquer ! Ces « béquilles » dont nous dépendons sont nombreuses pour assurer notre sécurité, notre confort ou notre plaisir. Nous prenons alors le gros risque de leur accorder davantage de confiance qu’à Dieu. Une telle attitude revient à manifester de l’infidélité.
AUX ACTES…
Où cherchez-vous votre paix intérieure ? Dans un compte bancaire ? Dans vos connaissances ? Dans les airbags de votre voiture ? La liste pourrait prendre plusieurs pages. Non pas que l’assurance terrestre soit mauvaise en soi. Mais notre confiance dans l’or ou les murs peut dissimuler un manque de confiance en Dieu. Il doit nous débarrasser de nos fausses sécurités afin que nous puissions véritablement nous appuyer sur lui.
Rappelez-vous cette affirmation de Jésus : Dieu garde un œil sur le moineau et, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Seule votre désobéissance délibérée peut vous perdre, et même dans ce cas, il veille encore sur vous. Plaçons notre confiance en Celui qui en est absolument digne. N’acceptons aucun substitut. Reposons-nous dans ses bras souverains.
(Extrait du livre « 365 méditations Dans ses Pas » – Chris Tiegreen)
LE CŒUR DE LA PRIERE
Mais toi, quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte et prie ton Père qui est là dans le lieu secret… (Matthieu 6.6)
Lecture proposée : Matthieu 6.5-13
5 Lorsque vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites, qui aiment à prier debout dans les synagogues et aux coins des rues, pour être vus des hommes. Je vous le dis en vérité, ils reçoivent leur récompense. 6 Mais quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme ta porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra. 7 En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. 8 Ne leur ressemblez pas ; car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez.
9 Voici donc comment vous devez prier: Notre Père qui es aux cieux ! Que ton nom soit sanctifié ; 10 que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. 11 Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien ; 12 pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; 13 ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen !
Si important que soit la prière publique et collective, elle n’est pas le cœur de cet exercice qui relie le croyant à Dieu. Le risque existe, lorsque nous prions devant les autres, de vouloir les impressionner par nos paroles ou nos gestes.
Certes, nous nous adressons à Dieu, mais aussi à ceux qui nous écoutent. Les religieux du temps de Jésus étaient des experts de la comédie. Se tenant debout au coin des rues ou dans les synagogues, ils faisaient tout pour être remarqués. Jésus prévient les siens contre cette attitude. La véritable prière se vit dans le secret de sa chambre. Elle n’a d’autre auditeur et spectateur que Dieu. C’est là, dan le un à un avec lui, que le cœur peut se livrer totalement. Qui s’adresse à Dieu seul sait qu’il ne sert à rien de bluffer ou de jouer un rôle. Tout peut être dit avec honnêteté à Dieu : cris, angoisses, attentes, confessions..
Prier, c’est témoigner de la confiance que nous avons dans le Père quant à nos besoins les plus variés. Jésus l’assure : une telle démarche ne restera pas sans réponse. Le Père, qui voit dans le secret, entend. Il aime ce dialogue dans lequel le cœur s’exprime. Il apprécie cette confidence intime dont il est l’objet. Il n se passera pas longtemps avant qu’il ne réponde ouvertement à la demande qui lui est adressée.
(Extrait des méditations Quotidiennes – Gilles Georgel)
DEBOUT !
Réveille-toi, toi qui dors, relève-toi d’entre les morts, et Christ t’éclairera. (Ephésiens 5.14)
Lecture proposée : Ephésiens 5.8-21
8 Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière ! 9 Car le fruit de la lumière consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité. 10 Examinez ce qui est agréable au Seigneur ; 11 et ne prenez point part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les. 12 Car il est honteux de dire ce qu'ils font en secret ; 13 mais tout ce qui est condamné est manifesté par la lumière, car tout ce qui est manifesté est lumière. 14 C'est pour cela qu'il est dit: Réveille-toi, toi qui dors, Relève-toi d'entre les morts, Et Christ t'éclairera. 15 Prenez donc garde de vous conduire avec circonspection, non comme des insensés, mais comme des sages ; 16 rachetez le temps, car les jours sont mauvais. 17 C'est pourquoi ne soyez pas inconsidérés, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur. 18 Ne vous enivrez pas de vin: c'est de la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l'Esprit ; 19 entretenez-vous par des psaumes, par des hymnes, et par des cantiques spirituels, chantant et célébrant de tout votre coeur les louanges du Seigneur ; 20 rendez continuellement grâces pour toutes choses à Dieu le Père, au nom de notre Seigneur Jésus Christ, 21 vous soumettant les uns aux autres dans la crainte de Christ.
C’est un souvenir d’enfance que j’évoquerai ici. Dans mes bulletins scolaires de l’époque, on trouve souvent cette remarque : « Dans la lune ». Il est vrai que j’avais beaucoup de mal à me concentrer en classe. En primaire, une maîtresse a trouvé la solution. Elle peut paraître abrupte, mais, appliquée avec amour, elle m’a fait réagir : « Tu vas rester debout ! ».
J’aurais pu me sentir humilié. Mais cette injonction s’accompagnait d’une régulière stimulation et d’une bienveillante attention de sa part. Et mes progrès ont été réels. Longtemps après ces années-là, j’écrivais encore à cette institutrice bien-aimée qui répondait à mes lettres avec de bons conseils et beaucoup d’affection.
Notre Dieu voudrait lui aussi nous tenir éveillés. L’adversaire cherche à nous endormir, à nous rendre passifs, résignés. Alors nous devenons vulnérables aux tentations, et sans force pour l’action.
Comment rester éveillés ? L’apôtre Paul nous appelle à discerner la volonté du Seigneur, à nous séparer des œuvres stériles des ténèbres. (Ephésiens 5.11) [11 et ne prenez point part aux oeuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les], et à nous exhorter dans la communion fraternelle. Ce qui me donne du courage, c’est de savoir que mon Seigneur me regarde avec amour et désire mes progrès. Comme s’il me disait : « Tiens-toi debout devant moi dans la lumière, je ne te quitte pas des yeux, je suis avec toi chaque jour. »
(Extrait des méditations Quotidiennes – Elfriede Bloch)