ON SE TIENT PAR LA MAIN ! Moi, l’Eternel, je te tiendrai fermement par la main. (Esaïe 42.6) Lecture proposée : (Ephésiens 5.22-33) Claude Schneider

Moi, l’Eternel, je te tiendrai fermement par la main.  (Esaïe 42.6)

Lecture proposée : (Ephésiens 5.22-33)

  ²² Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur ; ²³ car le mari est le chef de la femme, comme Christ est le chef de l'Église, qui est son corps, et dont il est le Sauveur. ²⁴ Or, de même que l'Église est soumise à Christ, les femmes aussi doivent l'être à leurs maris en toutes choses. ²⁵ Maris, aimez vos femmes, comme Christ a aimé l'Église, et s'est livré lui-même pour elle, ²⁶ afin de la sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, ²⁷ afin de faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. ²⁸ C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs propres corps. Celui qui aime sa femme s'aime lui-même. ²⁹ Car jamais personne n'a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le fait pour l'Église, ³⁰ parce que nous sommes membres de son corps. ³¹ C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. ³² Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport à Christ et à l'Église. ³³ Du reste, que chacun de vous aime sa femme comme lui-même, et que la femme respecte son mari.

Marcel et Berthe ont fêté leurs noces de grenat ! Leur amour dure depuis 82 ans, et Berthe sourit : « On se tient toujours par la main comme des gamins ! » C’est beau !

Pour mon épouse et moi, ça fait 47 ans que nous cheminons ensemble. Toujours la main dans la main ? Oh non, mais, par l’amour de Jésus, nous finissons toujours par tendre l’un à l’autre une main de pardon et de nouvelle complicité. Autrement, nos noces de cachemire seraient plutôt des noces de… cache-misère !

« Marcher la main dans la main », c’est quoi pour nous ?

• Cela signifie d’abord que chacun est  et restera le plus proche compagnon de l’autre !

• Cela veut dire que nous sommes résolus d’avancer dans la même  direction, celle indiquée par les Ecritures

• Cela induit que nous marchions au même rythme, nous attendant l’un l’autre, et nous encourageant mutuellement. (Philippiens 3.16).[Seulement, au point où nous sommes parvenus, marchons d'un même pas. ]

 De plus en plus, l’un devra s’appuyer sur l’autre, puis peut-être se laisser conduire par la main, voire… « pouponner » par l’autre, eh oui ! Et un jour, nous devrons nous résoudre à lâcher la main aimée, et laisser l’autre nous précéder auprès de notre Seigneur !

Que ce sera dur ! Quatre chers amis ont vécu cela récemment. Ils nous encouragent en nous démontrant combien la forte main du Père céleste les tient fermement dans leur souffrance et leur faiblesse !

(Extrait des « Méditations Quotidiennes – Claude Schneider)