
Le Chant des âmes nues*Faisant voile seule sur les flots de l’oubli,
La risée du vent m’emporte au gré de l’errance.
Ainsi passe inexorable, le temps fuyant.
Mon sort se joue, violent, dans ses bras gémissant
Sous le regard suffisant de l’indifférence.
'Du loin provient le près, cet objet du voyage
De l’esprit et du cœur, il concerne le but :
Nourrir les dimensions de tous les élans bruts,
Germes de conscience extraits de leurs partages,
Sa vision est au Sud où il la sait affaiblie.
'D’un coin du...
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