
Faux-pas de l’esprit… comme un questionnementVivre la solitude accompagnée d’une muse habitée…Cela en fait du monde pour un poète en image, isolé,Rattrapé par les mots qui viennent l’habiter au soir qui naît,Quand les ombres s’estompent… que la lumière fuit, qui sait !Un endormissement de l’être qui s’éteint enfin,Pensant, poète avoir alors tout écrit, ne ressentant plus rien…Les mains dans l’oreiller d’une nuit qu’on étreintPour pouvoir mieux encore apaiser de nos maux toute faim…Cela ne se fait pas, de ne pas reconnaître les faux...
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