19 mai 2019

A tous ceux qui se sentent renaître (Photopoème d'avant, Yann)

A tous ceux qui se sentent renaître   Se le dire quand le soleil se couche, En rêver la nuit alors pour démultiplier, Méditer puissamment à l'astre se levant, Le vivre au jour le jour ; à chaque respiration… Être alors ce que l'on décide en arbitre de soi, Conscient du Destin qui s'anime… A chaque battement de vie. Ton île d'être est le port de ton âme, Ecoute les battements de ton cœur en chemin Qui te rappellent à l'Être, au respîr', La conscience se profile quand on ne l'attend pas. Ferme les yeux et ouvre-les du... [Lire la suite]

10 mai 2019

Tomber... se relever… l'Envol (Photopoème d'avant, Yann)

Tomber... se relever… l'Envol   Ton être est envahi du doute, La fatigue surgit en coup au coeur. Comme un poisson hors de la mer, Tu cherches en désespoir l'élément bon. Ta détresse te rend solitaire, L’ami ne trouve plus les mots Ou ne l'entends- tu plus comprendre Le passé en souffrance qui s'accroche ? Ta tête lourde se baisse Les soupirs empesés s'exhalent. Tes paupières sur tes yeux coulent, Tes lèvres assoiffées et glacées se collent. Le cerveau s'embrume de pensées négatives, Les sourires qui font tes... [Lire la suite]
15 février 2019

Nous sommes...le genre humain [Slam] (Photopoème d'avant, Yann)

Nous sommes ..... LE GENRE HUMAIN   Nous sommes des nantisLes sécurisés des sangsLes autorisés à l'emploiLes assistés des différencesEt les pressés du temps qui des saisonsNe retiennent que beau-tempsSans penser à l'autruiQu’en tant que codicilleQu'attend la « tempérie »Les choisis d'un destin qui reste à définir.*Un pays a d'abord le goût de la terre.Les sens à l'affûtC'est dans les sillons que la graine s'égaie, Et dans l'artisan du travail que le transmis se gère !L'intensif n'est que soleil d'été, Épuisement du vivre et... [Lire la suite]
11 décembre 2018

C'est un amour destin (Photopoème d'avant, Yann)

C’est un amour destinIl est beau notre enfant, ce jardin de nos cœurs. Les nuages de vie ont fait pleurer dessus Des larmes tout sourire et chanter le bonheur De la confiance acquise au prix de nos tissus. Cette soie si sauvage apprivoisée et sage Qui sur nos esprits mûris de nos buissons Nourrit le frottement de nos âmes en nage, Vers tous les quotidiens, nos lendemains frissons.   Dans ce verger fleuri, l’altier arbre à souhaits Recueille en ses branches nos brouillonnes pensées. Le parterre épanoui voit le lys qui... [Lire la suite]
Posté par yannpatsy à 05:05 - - Commentaires [0] - Permalien [#]
Tags : ,
05 mai 2018

Moi qui n'ai jamais su... (Photopoème d'avant, Patsy)

MOI QUI N’AI JAMAIS SU…   Te souviens-tu du jour où tu passas la tête, Sous ce coin de rideau d’un dortoir miséreux, Du haut d’un grand sourire de tes seize ans en fête Claironnant un « bonjour » et du rire dans les yeux ?   Mèche folle sur ton front, baskets, jean, un haut bleu, Et ce visage penché à l’orée de mon antre Puis du Destin le rire aux contours malicieux Qui résonnait déjà avant même que tu n’entres !   Les entends-tu toujours ces oiseaux colorés Qui réveillaient nos jours... [Lire la suite]
27 février 2018

Tu m’as dit « Tu es » Je te réponds : « Je suis » (Poésie d'avant) [Yann]

   Tu m’as dit «  Tu es  »  Je te réponds  : «  Je suis  »Comment à ce «  Tu es  » ne pas répondre en ce «  Je suis  »  ?Interpellée ainsi  par les pages du temps, la vibration de l’ici,Alors que se dessinent les voies du verbe aimer, là,Profile en tendresse et en longévité la gamme de nos «  La  ».Se mettre genoux à terre pour embrasser enfinL’histoire de nos  vies qui vient se résumerEn une acceptation, en une  communion…Avec l’être promis... [Lire la suite]
26 février 2018

Tu es (Poésie d'avant) [Patsy]

TU ES...   Tu es de ces enfants qui parlent au nom des Rois Avec dans le regard des soubresauts d'été, Quand le bleu délavé d'un ciel à court d'émois S'habille tout d'un coup d'une écharpe d'Aimer. Tu es de ces prairies où il fait bon poser Quelques larmes d'antan dessinées aux paupières, Se parlant une à une de souffrances passées Dans la nuit qui s'en va en soupirs et prières. Tu es de ces jardins où je cueille la fleur Bonté personnifiée creusée tout en sillons De chemins aux histoires où la Peine se meurt Dans... [Lire la suite]