
Il s’appelle poète et sa muse est l’amer.
Tu dois laisser au temps de l’être le temps du vivre. N’écorche pas ton cœur vivant aux poids des ans, L’harmonie vraie naît des pages tournées du Livre. Le vent fou de la peur meurt aux feux océans. Du désespoir d’hier un soleil a surgi. C’est le fruit des rencontres, noyau du destin, Qui habille les élans, nous laisse groggy En valse-hésitation pour devenirs éteint. A cheval sur le temps du dormir en éveil, L’espace d’un instant le rideau se déchire, Un désert de vie...
[Lire la suite]