Il y a tant d'amour feu et d'oubli, d'habitude dans le toujours aimé des jours qui passent (Photopoème d'avant, Yann)
Il y a tant d'amour feu et d'oubli, d'habitude dans le toujours aimé des jours qui passent * Parceque tu peux comprendre je réponds à ton Être Cette part de toi même qui demeure sans paraître. Il n'y a pas de titre, juste une image absolue : Coeur en filigrane sur les années mal vécues. Toute graîne d'espoir déposée en un coeur ouvert, Toute douceur et puissance en regard nu entrouvert, Intensifiant l'alors de l'émotion crue ce miroir De la vie inversée pressentie mais non vouloir: Juste reflet bleu de l'esprit en quête d'un non vu, Peut, dans le construit de l'esprit qui se livre imprévu, Fonder l'étai des présents à venir en nourrissant, Infime parcelle des temps antérieure agissant, Intime une création d'Amour indéfinissable, Livrée pour faire en sorte que l'inaccommodable, Tous les jours un peu plus, se rende pour vaincre l'épreuve, Pour tous les amours aimés et les amours vivre fleuve. * Lorsque l'on devient pour l'autre l'esprit, le sang, la foi, La loi, l'endroit aussi bien que l'envers, l'oubli de soi Vient créer l'entrevoir du lien destructeur, d'irraison, Cette racine empoisonnée qui fait se désaimer l'Être à foison. L'amour cru devient alors prison de vivre pour qui, Ne sachant plus durer qu'en référence d'un acquit, Imagine en souffle de vie qu'il ne faille qu'un être Pour exister toujours au rytme du vécu en Hêtre, Le dernier souffle te verra esclave d' illusions ; |
Puisque ta croyance aura survécu sans révisions, Ce sont tes relatifs qui aurons nourris tes voulus Alors que 1a conscience vibrant le su absolu Demandait à l'esprit de vaincre le mental racine Juste pour exister un peu en âme médecine. Il suffirait de presque rien, juste un lâcher-prise blanc Et le sel de terre, de mer panse le ciel en sang. * Il reste à adoucir l'instant en berçant les présents D'autant de vibrations ailées que de pas en avant C'est la spirale qui s'ouvre, pas de retour arrière, Il n'y a point de paix car il n'y a pas eu de guerre. Pour adoucir l'instant lambda des réponses émises Aux questions inconnues de l'indéfinissable crise Du temps, et de l'espace, passe et ne traverse pas, La croisée des chemins se fait en nos mea-culpa, Ces quotidiens sommeils qui deviennent soleils brillant Servant d'amer sûr et de phare aux hommes divaguant. Quand on s'arrêtera à l'instant du regard pensé, C'est dans les profondeurs oubliées du jamais sassé Que l'on pourra puiser à l'ombre suie de nos mémoires, L'instant créateur qui fera vivre un non-être espoir. Nous voici au palier de l'agir, entre égo régnant, Le Soi partageant sans compter de la vie le prégnant.
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Il y a tant d'amour feu et d'oubli, d'habitude dans le toujours aimé des jours qui passent Que les jours eux-même, initient leurs nuits propre à l'abri de quêtes lâsses. Tu es la lettre majuscule qui enrichit l'écriture des corps chus et des bouts âmes Et moi, je ne suis rien, que la ponctuation de toutes dimensions pour en chérir la flamme. |
Yann