Quand le sentiment vibre (Photopoème d'avant, Yann)
Quand le sentiment vibre
Quand tu mets sur la tour Eiffel
Le doigt de la lumière
Quand tu poses sur les éclats de rire
Le pinceau de l artiste
Avec sur les toits de la ville
Toutes les places Notre-Dame
Il reste à l’écho des sensibilités
La dimension voulue de l’ininterrompu
Où cent pour cent du sang pour sang
Éclabousse la toile de tant d’irrésolus
Le train de l’amour passe aux rythmes insensés
La tête a réfléchi aux sons des inédits
Et le cœur a tremblé au soin du généré
Les doigts se sont croisés sur la foi du créé
Quand le masque est tombé au nom d’ubiquité
Le silence a grandi au flan du doute induit
Il demeure dans l’ombre un incertain inscrit ;
Sur les cartes du tendre s’est dessiné d’instinct
Le retard des voulus, les certains incertains
Et tous les définis qui font des cœurs unis :
Les amours de l’amour
Les infinis du temps
Et toutes les promesses
Des présents éternels,
Ces chemins impartis
A l’unique je t’aime !
Yann